Autodrône est une revue d’images et d’écriture. C’est un projet qui s’adresse aux cerveaux inconcentrables car il propose une lecture hyper active. En tant qu’objet hybride, Autodrône est aussi un projet de curation, il est aussi une base de données. Sculptant directement dans le désordre des fichiers, des images et des mots qui composent l’air autour de nous. En toile de fond s’agitent des questions autour de la reproductibilité et de la co-habitation.

Au sein de la revue s’articulent anarchiquement : travaux d’ artistes, textes de la littérature, objets trouvés, tentatives avortées,
textes et images volé·es, trouvé·es, donné·es. Ce que fait Autodrône c’est superposer, hyperposer, connecter. La page blanche n’existe pas,
donc Autodrône est surchargé. Autodrône tranche dans l’obèse miche de la réalité, chaque numéro sur un thème, un axe, une lame, un prisme.

On est pas spécialement fan par contre on prône la panique,
on pourra donc dire Panzine.

Autodrône est une revue d’écriture collective dans le sens d’une écriture qui collecte. Autodrône propose toujours un point de vue congloméré et foisonnant, multiple donc, toujours le but et de « faire dire » quelque chose à tous les éléments qui composent l’édition. Dynamiter la notion d’auteur, tout mettre au même niveau, image glanée, participation d’artiste mort, actuel, prévenu, volontaire, mélanger objet trouvé, documents, photographie, fragments de peinture, fragments de la grande littérature, … tout cela pour former une sorte de matière à penser. Considérer le cerveau comme un ventre et le lecteur comme une machine appétante, désirante et connectée.

Autodrône s’amuse beaucoup en surchargeant, superposant, juxtaposant; sa lecture s’effectue sur un mode très actif, car il s’adresse aussi aux jeunes, qui sont habitués à une activité plurielle, aux fenêtres qui se superposent, à la vitesse, au mouvement.

Voir l’objet livre comme une source, véritablement comme quelque chose à boire. Vitaliste, anarchique, libertaire, démocratique en somme : les trois premiers numéros d’Autodrône étaient rivés sur des thèmes qui concernent le vivant : Sommeil, Magnétisme et Enfance dont des états et des forces qui concernent et influent sur toute forme de vie. Avec son quatrième numéro Autodrône s’est attaqué à un problème : la sécurité. Ce quatrième volume a été l’occasion de fabriquer une matière à penser plus politique, plus actuelle et plus ancrée dans des questions de philosophie politique.

Revue d’art automatique
pour une lecture cybernétique.

Autodrône est une revue d’images et d’écriture. C’est un projet qui s’adresse aux cerveaux inconcentrables car il propose une lecture hyper active. En tant qu’objet hybride, Autodrône est aussi un projet de curation, il est aussi une base de données. Sculptant directement dans le désordre des fichiers, des images et des mots qui composent l’air autour de nous. En toile de fond s’agitent des questions autour de la reproductibilité et de la co-habitation.

Au sein de la revue s’articulent anarchiquement : travaux d’ artistes, textes de la littérature, objets trouvés, tentatives avortées,
textes et images volé·es, trouvé·es, donné·es. Ce que fait Autodrône c’est superposer, hyperposer, connecter. La page blanche n’existe pas,
donc Autodrône est surchargé. Autodrône tranche dans l’obèse miche de la réalité, chaque numéro sur un thème, un axe, une lame, un prisme.

On est pas spécialement fan par contre on prône la panique,
on pourra donc dire Panzine.

hello
@autodrône
.com